Source: "Le Temps"
"Pas facile pour un psychothérapeute de traiter un patient dont il ne partage pas les mêmes références. Pour une aide adéquate aux migrants et aux personnes étrangères, des services de consultation mettent la question culturelle au centre de leur pratique
Dans une salle, six thérapeutes, un «référent culturel» et un patient forment un cercle. Un groupe de parole? Non, une consultation d’ethnopsychiatrie à Genève. Le principe: «Un thérapeute et un patient évoluent en général dans le même contexte culturel, explique Franceline James, psychiatre psychothérapeute FMH et fondatrice de l’Association genevoise pour l’ethnopsychiatrie. Mais un migrant aura d’autres références dont nous tenons compte.» (fin citation)
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