Catherine HandfieldLa Presse (Canada)
Source: plus.lapresse.ca
Le traitement de première ligne demeure la thérapie cognitive comportementale spécialisée pour le TOC, indique Debbie Sookman, aussi présidente de l’Institut canadien des troubles obsessifs compulsifs. On invite le patient à développer des stratégies pour répondre aux obsessions et on l’invite, graduellement, à s’exposer aux situations qu’il craint sans faire de compulsions. Kieron O’Connor, pour sa part, a élaboré une nouvelle approche cognitive – la thérapie basée sur les inférences – qui s’attarde aux croyances. Pourquoi la personne a-t-elle pensé que ses mains étaient sales, que le four était resté allumé ? Ce doute serait issu d’un raisonnement invalide. « C’est toujours quelque chose d’exagéré, de non pertinent, ou qui est issu d’une mauvaise association », explique Kieron O’connor, qui souligne que les gens qui ont un TOC ont tendance à s’investir dans les possibilités imaginaires plutôt que dans la réalitéé (fin citation)
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