Psychomédia, 6 janvier 2016
Chez les personnes à risque génétique élevé de développer un trouble bipolaire, des changements compensatoires dans certains circuits du cerveau aideraient à éviter l'apparition de la maladie, selon une étude publiée dans la revue Translational Psychiatry. Cette capacité d'adaptation a été appelée plasticité cérébrale.
Le trouble bipolaire est en très grande partie héréditaire, ce qui signifie que les personnes ayant un parent ou des frères/sœurs atteints du trouble ont un risque beaucoup plus grand de développer la maladie que celles sans antécédents familiaux. (fin citation)
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