RTS (CQRD du 27.06.13)
C’est tout récemment que des chercheurs de l'EPFL ont pu voir que les traumatismes de l’enfance laissent une empreinte durable dans le cerveau. Ils ont même pu constater que cette modification de la structure-même du cerveau peut prédisposer à la violence - en tout cas chez les rats. Mais chez les humains aussi on a pu constater des altérations biologiques du cerveau suite à un traumatisme. Des altérations qui ont d’ailleurs pu être visualisées par IRM. La réponse de Muriel Salmona, médecin psychiatre, chercheuse en psycho traumatologie. Un dossier d'Anne Baecher.
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