La Presse (Canada)
16 mars 2016
Les réfugiés présentent un risque beaucoup plus élevé que le reste de la population de souffrir d'une psychose grave comme la schizophrénie, du fait de leurs expériences traumatiques, selon une étude publiée dans le British Medical Journal (BMJ).
Sur une population de référence de 10 000 personnes, 12 nouveaux diagnostics de schizophrénie sont faits chaque année parmi les réfugiés, contre huit parmi les immigrés non réfugiés et quatre au sein de la population autochtone.
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