RTS: On en parle
25 septembre 2014
Les sites d'informations médicales sont nombreux sur internet, et nombreux sont les internautes à les consulter avant de voir un médecin. Une étude démontre qu'un tiers des patients qui consultent ces sites aboutit à un diagnostic alarmant et infondé. Le patient interprète alors n’importe quel signe de son corps comme une maladie grave. Cette forme d'hypercondrie moderne porte désormais un nom: la cybercondrie.
L'éclairage de Pierre Cosson, professeur à la faculté de médecine de Genève qui a mené cette étude sur la cybercondrie, et de Célia Boyer, directrice exécutive de la fondation Health On the Net (HON) qui guide les internautes vers des sources d’informations médicales fiables. Un dossier de Frédérique Volery.
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►► voir aussi l'article sur la "Révue Médicale Suisse" ( 2014;10:1630-1631):
" Un vent de panique souffle sur le web. Un tiers des patients qui consultent des sites médicaux sur internet aboutit à un autodiagnostic alarmant et infondé. Plusieurs études récentes analysent les comportements des internautes lors d’une recherche d’informations médicales. L’une de ces études établit le profil de ces nouveaux hypochondriaques" (fin citation)