Psychomedia(/Canada
20.10.2015
"Des cellules du système immunitaire sont plus actives dans le cerveau des personnes à risque élevé de schizophrénie et celles qui ont déjà un diagnostic de la maladie, selon une étude britannique publiée dans l'American Journal of Psychiatry.
Ces résultats pourraient changer complètement la compréhension actuelle de la schizophrénie, soulevant la possibilité que des tests précoces chez les personnes les plus à risque pourraient leur permettre d'être traitées suffisamment tôt pour éviter les symptômes les plus graves de la maladie, disent les chercheurs." (fin citation)
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