La Dépèche (France)
mars 2014
Le lien entre la consommation de schizophrénie n’est pas nouveau. Pourtant, tous les consommateurs ne développeront pas cette maladie mentale. Alors pourquoi certains et pas d’autres ? Plusieurs travaux ont déjà pointé du doigt les antécédents familiaux de psychose, l’exposition au cours de l’adolescence ou encore l’importance de la consommation. Cette fois, une équipe INSERM s’attaque aux facteurs génétiques
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