Slate (France)
Jonathan Leo (Traduit par Peggy Sastre)
"Des échantillons toujours plus grands montrent des tailles d’effet toujours plus petites. Quelles conséquences pour le développement de médicaments, la pratique clinique et l'idée que nous nous faisons des maladies mentales?
Fin janvier, si on en croit plusieurs journaux, des scientifiques de la Harvard Medical School, du Boston Children’s Hospital et du Broad Institute ont découvert la base génétique de la schizophrénie. L’étude, publiée dans Nature, observe que les schizophrènes sont plus enclins à posséder les formes suractives d’un gène, le «composant C4 du complément», impliqué dans l’élagage synaptique (pruning) durant l’adolescence. Pour autant, suggérer l’existence d’un mécanisme biologique au sein d’un sous-ensemble de malades ne revient pas à confirmer la théorie génétique de la schizophrénie" (fin citation)
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