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PSYCHOTHÉRAPIE: L'IMPACT SUR LES PROCHES

Par Pascale Senk - le 13/12/2013

Le Figaro-San

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"Lorsque votre conjoint, votre enfant ou votre parent est en analyse ou en thérapie, difficile d'en sortir indemne".

Ils sont en quelque sorte aux premières loges: les changements promis à celui qui entre en psychothérapie, ses conjoints, parents ou frères et sœurs en sont les témoins privilégiés. Et pas toujours pour le meilleur. Ainsi ce mari qui un soir, au coucher, alors que sa jeune femme lui posait de nouvelles questions sur «leur relation», s'exclama: «Ah, c'était le bon temps, celui du silence complice… Avant que tu n'ailles à tes séances de thérapie! Désormais, on en est à l'interrogatoire perpétuel!» Idem pour ces parents qui se trouvent profondément remis en cause par leur progéniture «avec qui tout allait bien».

 

Pas facile de partager la vie d'un «psychothérapisé»? «Lorsqu'il vous apprend qu'il va commencer une thérapie, mieux vaut savoir d'emblée que cela impactera forcément votre lien», affirme Anne-Catherine Sabas. Et pour venir en aide à ce peuple désarçonné, l'entourage, elle vient de publier un ­Petit Manuel de survie… quand un de vos proches va voir un psy! (Éditions ­Bussière).( Fin citation)

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