La Croix.com (07.06.2016)
Une étude publiée mardi 7 juin dans Translational Psychiatry bouscule les connaissances sur l’anorexie mentale, qui s’expliquerait moins par la crainte de prendre du poids que par le plaisir d’en perdre. Ce changement de paradigme ouvre de nouvelles voies pour soigner les malades
Les dernières découvertes concernant l’anorexie mentale ouvrent de nouveaux espoirs thérapeutiques. Publiée mardi 6 juin dans la revue Translational Psychiatry, une étude de l’Inserm, de l’université Paris-Descartes et du centre hospitalier Sainte-Anne, tend à remettre en cause les critères internationaux de diagnostic (DSM5) de cette maladie, qui toucherait 0,9 à 1,5 % des femmes (et 0,2 à 0,3 % des hommes), selon la Haute Autorité de santé.(fin citation)
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