Source: ledevoir.com
"Les policiers, pompiers, ambulanciers et agents des services correctionnels du pays recevront à partir de septembre un questionnaire qui tentera de déterminer à quel point ces professions sont touchées par les troubles de stress post-traumatique. Le sondage bilingue est l’initiative du nouvel Institut canadien de recherche et de traitement en sécurité publique (ICRTSP) de l’Université de Regina, en Saskatchewan.
L’état de stress post-traumatique (ESPT) est un trouble souvent associé à la carrière de soldat. Il a été qualifié de « traumatisme du bombardement » lors de la Première Guerre mondiale, et de « névrose de la guerre » lors de la seconde, indique la fiche explicative d’Anciens Combattants Canada. Pourtant, le problème est bien présent parmi les corps de métier qui doivent répondre aux appels d’urgence en temps de paix, prévient le chercheur Nick Carleton, initiateur de l’étude
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