Eklabloc.com
Plusieurs travaux de chercheurs canadiens, allemands, américains et suisses ont découvert que la maltraitance et l'abus sexuel dans l'enfance s’inscrivent dans l’ADN et dans le cerveau et peuvent laisser une trace dans l'ADN jusqu'à la troisième génération.
Sur ce site vous trouvez les travaux suivants:
- La recherche de 2013 montre que les abus sexuels et émotionnels dans l’enfance laissent une trace dans le cerveau, cette trace permettant d’identifier le type d’abus.
- La recherche de 2012 montre que les maltraitances dans l’enfance laissent une trace dans l’ADN jusqu’à la 3ème génération
- Le 2 mars 2013, une étude menée par J. Douglas Bremner au « Yale Psychiatric Institute » : Childhood Sexual Abuse Causes Physical Brain Damage: An Alarming New Study (les abus sexuels dans l’enfance produisent des lésions cérébrales : une étude alarmante)
- En 2012, l’équipe du professeur Alain Malafosse du Département de psychiatrie de la Faculté de médecine de l’Université de Genève a démontré que la maltraitance infantile laisse des traces dans l’ADN jusqu’à la 3ème génération
- « Un traumatisme psychologique dans l’enfance peut laisser une cicatrice génétique chez l’adulte. C’est ce qu’ont découvert une équipe de chercheurs genevois en examinant l’ADN d’adultes souffrants de troubles psychiatriques
- En mars 2009, une équipe de l’université McGill à Montréal a publié un article dans la revue Science et Vie à propos des conséquences génétiques des abus sexuels dans l’enfance
« C’est un fait, les abus sexuels dans l’enfance sont associés à un risque accru de dépression à l’âge adulte. Loin d’être juste psychologique, cette fragilité est aussi génétique, plus précisément épigénétique. C’est ce qu’a découvert une équipe de l’université McGill à Montréal, après avoir étudié le cerveau de 24 victimes de suicide, dont 12 avaient subi des abus sexuels dans l’enfance."
Pour lire les diifférents articles, cliquer ici