Au laboratoire, Véronique Bohbot et son équipe ont eu recours à la navigation virtuelle pour réaliser l'étude, menée auprès d'aînés en santé, qui a démontré ce qui suit :
1) Les participants qui utilisaient la stratégie de mémoire spatiale ont été les seuls sujets à présenter une activité significative de l'hippocampe lors de tâches de navigation virtuelle. Cette activité a été observée à l'aide de l'imagerie par résonance magnétique fonctionnelle.
2) La stratégie de mémoire spatiale a été associée à plus de matière grise à l'hippocampe.
3) Les gens utilisent la stratégie spatiale de moins en moins avec l'âge.
4) Les risques de démence étaient réduits chez les personnes utilisant la stratégie spatiale, selon l'évaluation du MoCA© (The Montreal Cognitive Assessment, test cognitif conçu pour aider les professionnels de la santé à évaluer les dysfonctions cognitives légères).(fin citation)
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